Le Bellevoye Prune propose une approche inhabituelle : affiner un triple malt français dans des fûts ayant contenu de la vieille prune. Cette finition, rare dans l’univers du whisky, interroge : comment l’eau-de-vie traditionnelle française influence-t-elle le profil aromatique d’un assemblage de trois single malts ?
La maison Bellevoye, fondée en 2013, s’est construite sur cette idée de passerelles entre distillation française et codes du whisky. Après les éditions Bleu, Noir et Orange, cette cuvée Prune pousse la logique encore plus loin en jouant la carte des spiritueux de terroir.
J’ai testé cette référence pour comprendre ce qu’elle apporte réellement : effet de style ou véritable pertinence gustative ? Voici mon analyse complète, du nez à la finale.
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