Quel type de cigarette électronique utiliser pour son vapotage ?
2020 approche à grands pas et son cortège de bonnes résolutions aussi. Parmi les plus récurrentes, celles de l’arrêt de la cigarette traditionnelle. Et parmi les méthodes les plus efficaces pour aller au bout de cette résolution, la cigarette électronique. Oui… Mais laquelle ?
Comment bien débuter dans l’univers de la vape ?
Le passage à la vape entraine de très nombreuses questions, c’est normal. Il n’y a qu’une façon de fumer ; il existe en revanche de très nombreuses manières de vaper. Une petite vape discrète, une vape qui génère d’impressionnants nuages de vapeur et tout ce qu’il y a entre les deux. Mais la densité de l’écume produite n’est pas le seul paramètre à prendre en compte. La vape, c’est surtout du ressenti et on ne recherche pas forcément tous la même chose. Il faut bien comprendre tout ce qu’apporte une vraie cigarette. Lorsque l’on prend une aspiration, la nicotine va se diriger droit vers le cerveau et plus particulièrement dans l’hypothalamus, la zone de tous les plaisirs. En un mot comme en cent, la principale addiction pour la plupart des fumeurs, c’est ça. Mais certaines personnes recherchent également le « hit », ce petit choc que l’on a en fond de gorge à chaque aspiration. Techniquement, c’est le larynx qui se contracte, toujours au contact de la nicotine. Pas de nicotine, pas de hit, beaucoup de nicotine, beaucoup de hit, c’est aussi simple que ça. D’autres personnes recherchent aussi la gestuelle, et le fait d’expulser de la vapeur ou de la fumée, ça fait évidemment partie de la gestuelle. Avec la cigarette électronique, on a une imitation de la cigarette traditionnelle assez complète, contrairement aux patchs ou l’hypnose. Pour cette raison, l’e-cigarette est devant toutes les autres méthodes de sevrage tabagique la plus efficace.
Quel modèle choisir ?
Mais on ne va pas prendre n’importe quelle e-cigarette. Avant toute chose, il convient de mettre en adéquation le problème et les moyens. On doit d’abord déterminer l’autonomie de la batterie dont on va avoir besoin pour passer un cycle quotidien sans trop de contraintes. Avec myblu la batterie vous tiendra une journée complète en vapant régulièrement et 6h sans pause (restez tout de même raisonnable). En plus, on reste dans la discrétion absolue, la vapeur n’est pas démonstrative pour ne pas inquiéter l’entourage et en termes de simplicité d’utilisation, on est proche de la perfection : une capsule vient se fixer sur la batterie et il n’y a plus qu’à aspirer.
Si vous êtes sensible au choix de couleurs, alors myblu est fait pour vous. En fonction de vos humeurs, de la saison, de la couleur du T-shirt, il est possible de s’assortir à sa cigarette électronique. En effet, les batteries myblu peuvent être vendues seules. Vous préférez le violet, l’or, le rouge, le noir ou le bleu ? L’éventail des teintes n’a d’égal que la multiplicité des saveurs de la marque et on reste toujours dans une belle élégance.
Pour les fumeurs modérés, les capsules myblu existent en nicotine traditionnelle en 13 saveurs, dont classique. Quand la consommation de cigarettes devient plus importante, les sels de nicotine répondent à l’addiction sans interagir avec le larynx. On peut donc vaper efficacement, sans biberonner toute la journée. Les capsules en sels de nicotine existent cependant en plusieurs dosages mais en général quand on recherche ce type de nicotine, c’est pour la conjonction « peu d’aspiration / beaucoup d’efficacité ».
Sinon, on peut se diriger alors vers d’autres modèles mais on perdra alors la discrétion et l’élégance. L’intérêt de rester sur myblu, c’est que ça n’occupe pas beaucoup de volume ; que l’on porte un costume ou une tenue d’été, les poches ne seront pas déformées. Si vous voulez opter pour quelque chose de différent, avec plus d’autonomie, il y a de fortes chances pour que cela occupe plus de place et soit légèrement plus contraignant. Finies les capsules et bonjour une manipulation en plus : le remplissage d’un e-liquide dans un réservoir de quelques millilitres. Ne noircissons pas le tableau, désormais, c’est assez facile. Mais en comparaison de l’emboitement de la capsule dans la batterie et de l’absence de tout bouton, c’est forcément plus compliqué.
Ensuite, on peut aller un peu plus loin, surtout si on cherche à générer plus de vapeur. Au diable la discrétion. Parfois l’élégance n’est plus de mise ! C’est lourd, imposant et déjà beaucoup moins sobre. La marque Aegis propose des box (de grosses batteries si vous préférez) vraiment intéressantes ; au niveau du look, les avis peuvent être partagés mais le leitmotiv de la marque est de proposer de la solidité, de l’étanchéité… En termes de clearomiseur (la partie où l’on met de liquide), le Zenith est avant tout pratique : pas de dévissage au moment du remplissage, une belle solidité également et une contenance qui peut aller jusque 4 millilitres. Si on veut aller encore plus loin en termes de densité de vapeur, Vaporesso propose aussi quelque chose de très bien. Là, on oublie la sobriété avec le SKRR : 8 millilitres de contenance, une vape à 50 watts, c’est le modèle avec lequel il ne faut absolument pas commencer la vape : c’est vraiment puissant. Et la vape, avec ses milliers de saveurs, c’est avant tout du plaisir tout en se débarrassant d’une sale habitude. Avec du trop gros matériel pour commencer, on toussote souvent et le déplaisir ne doit pas être de mise ! Ces modèles imposants sont l’issue d’une montée en puissance de son matériel. Donc, nous en revenons à myblu, sa discrétion, son design chic, son prix particulièrement attractif, son côté simple et pratique : l’outil parfait pour débuter dans la vape et ne pas reprendre les cigarettes goudronnées.
Bonne vape !
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